Lutte féminine |
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’expérience avec la 2STV il y a quelques années, avait montré que la lutte est l’affaire de tous et que les femmes ne devaient pas être en marge de cette marche glorieuse de notre sport national. Il est important qu’on ressuscite le Djiguène Lamb pour tenir parole des principes qu’il faille aussi élever la femme au même titre que l’homme dans la société.
Un Goor en
Nguimb, c’est beau. Mais c’est aussi
impressionnant une Djiguène en Nguimb. Il faut encourager la parité. La
2STV avait prouvé, en organisant des compétitions pour les dames, que la gent
féminine avait aussi du talent. Nombreuses écuries de nombreuses avaient
présenté des combattantes vigoureuses et talentueuses. Un Championnat à l’issue
duquel, le pan culturel avait été revisité et mis en avant.
Les hommes ayant fait des émules, ont vu et su
qu’ils qu’ils n’étaient pas les seuls à aimer et pratiquer ce sport.
Par ailleurs si nos sœurs pratiquent le football,
la natation, le karaté, judo etc, pourquoi ne s’afficheraient-elles pas en
lutte simple et lutte avec frappe ?
L’expérience du passé avait été enrichissante, et
mérite être renouvelée.
Djiguène
Lamb, Cey, nekhna han…
Mamadou Koné, New-York (USA)
Extrait de les "Arènes"
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